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poème. 4 Décembre 2013

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Il y avait ce cheval au galop,
il y avait la nuit noire, aveuglée.
Des cris aussi.
 
Des larmes de mer s’évadaient d’un sol détrempé,
éclats des sabots martelant la terre.

 

Il y avait ce vent dérouté,
il y avait ce deuil par sa robe signifié.
Et des cris aussi.

 

Des lampes de ciel s’amusaient de nuages enchaînés,
s’enfuyant alertés, découvert par les cieux.

 

Il y avait ce soir assassiné,
il y avait cette douleur par la mort exprimée.
Et des cris encore.

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