top of page
Il y avait ce cheval au galop,
il y avait la nuit noire, aveuglée.
Des cris aussi.
Des larmes de mer s’évadaient d’un sol détrempé,
éclats des sabots martelant la terre.
Il y avait ce vent dérouté,
il y avait ce deuil par sa robe signifié.
Et des cris aussi.
Des lampes de ciel s’amusaient de nuages enchaînés,
s’enfuyant alertés, découvert par les cieux.
Il y avait ce soir assassiné,
il y avait cette douleur par la mort exprimée.
Et des cris encore.
bottom of page